La 500 SL de Bobby en goguette à Rueil !

Lors d'un évènement réunissant des clients flottes utilitaires légers, Mercedes-Benz France (MBF) a exhibé au Mercedes-Benz Center de Rueil-Malmaison (92), "temple" de l'étoile chez nous, toute sa gamme de VUL (Citan, Vito et Sprinter), ce qui est fort inhabituel voire unique dans un tel lieu.

Cela, c'était pour le travail, entre bons commerciaux. Pour donner une touche de glamour et d'adrénaline à ce rendez-vous organisé avec la branche VUL du CNPA, la division utilitaires légers de MBF s'est carrément retroussée les manches. Après le déjeuner derrière l'espace Musée du célèbre centre, une dizaine de voitures étaient proposées à l’essai, dont quelques turbulents SLK 55, G 63 et S 63 AMG... Mais aussi un resplendissant 500 SL (R107) rouge, appartenant à la collection Oldtimers et Youngtimers de la filiale hexagonale. Laquelle compte dans sa caverne d'Ali Baba une dizaine de modèles emblématiques, de la 220 S coupé de 1953 aux 300 SL papillon et roadster - présente à Rueil -, en passant par les plus puissantes des Classe S de plusieurs époques (300 SEL 6.3, 450 "6,9" et 560 SEL "W126").

En mode décontracté ou vroum vroum. 

Ce 500 SL rouge - que les aficionados de la série Dallas identifieront vite comme la voiture de Bobby - millésime 89 dispose du V8 cinq litres de 245 chevaux. Sans avoir l'air d'y toucher, ce très classieux cab' peut sortir de sa réserve et servir des perfs' dignes d'une bonne GTI de l'époque (225 km/h en pointe et un 0 à 100 km/h en 9 secondes). Le tout délivré dans un grondement qui n'est pas sans rappeler, sur une note plus douce toutefois que les AMG, un big block ou le moteur d'un Riva.

Quelques mois après avoir été exposée à la Mercedes Gallery des Champs Elysées, la nouvelle Classe V apparaît en guest star à l'espace Musée  du Mercedes Center de Rueil, à coté d'une réplique d'un tricycle Benz de 1886.

 Au deuxième étage de ce centre de découverte et d'essais Mercedes Center, qui héberge aussi un très agréable restaurant, (344 avenue Napoléon Bonaparte à Rueil-Malmaison), l'espace AMG.
site web du Mercedes-Benz Center

ALPIN'A 50 ANS

Pour fêter son demi-siècle, le célèbre préparateur sur base BMW, créé par Burkard Bovensiepen en 1962 - il adapte alors un double carburateur Weber sur une BMW 1500 - lance un affriolant calendrier, dont la couverture et les mois de mai (entre autres) exhibent quelques unes de ses créations. 

 Entre 1981 et 1982, Alpina assemblera 90 B7 S Turbo: 60 sur base de BMW 528i (E12), et 30 sur base de coupé série 6 (E24). Toutes partagent le fameux six en ligne béhème de 3,5 l, boosté par un turbo à... 330 chevaux. Elles se vendent aussi vite que leur vmax sur l'Autobahn, qui frise les 260 km/h... 

 

Laquelle va prendre le dessus sur le 0 à 100 ? L'Alpina B10 biturbo (360 ch) ou notre Concorde fétiche ?

 

 Il y a bientôt 30 ans, une B7 Turbo (base berline 535i) a fait plusieurs tours (nocturnes) du périph' parisien, dont le meilleur à la vitesse moyenne de 195 km/h. Le tout fut dûment circonstancié dans un article d'anthologie de sept pages du magazine Auto-Hebdo daté du 29 janvier 1986. Personne n'a, depuis, tenté d'améliorer ce score. Du moins dans la presse spécialisée...

 site officiel Alpina (historique)

BEST OF www.leboncoin.fr

Nouvelle rubrique : chaque fin de semaine, Youngtimermag vous propose un pot pourri (à ne pas prendre au pied de la lettre of course) des plus belles photos trouvées sur le célèbre site de petites annonces. Pour le coup d'oeil et vous inspirer pour votre prochaine liste au Père NOël :- ) !

site le bon coin

LES VOLVO DANS TOUS LEURS ÉTATS

De janvier à avril 2014, j'ai réalisé la traduction d'un livre Volvo depuis l'allemand. Merci l'année Erasmus à Hambourg ! Le résultat sort ces jours-ci en librairie : "Volvo tous les modèles depuis 1927", paru Outre-Rhin il y a deux ans. En toute logique, mon nom n'apparait pas sur la couv' mais dans les crédits en tant que responsable de l'adaptation française.

 Cet exercice de traduction me taraudait depuis des années. Et oui, il y a quelques "gènes" au niveau des langues dans la famille (papa et frère profs agrégés d'anglais, moi-même cartonnant dans les thèmes et versions pratiquées en classe prépa, belle-cousine elle-même traductrice...).

Bref, assez parlé de moi, place à la youngtimer suédoise. Ces modèles m'ont toujours titillé, notamment lors des nombreux séjours estivaux en famille à Malborough College chez nos cousins britons. Je croisais dans les rues des cités anglaises autrement plus de 240, 760 et consorts qu'à Nancy ou globalement en France.

Parmi toutes les Volvo des années 70 à 90, mon Top 3 perso est le suivant (j'aime les breaks !) :

                                              - N°1: Volvo 240 break Turbo
                                              - N°2: Volvo 760
                                               - N°3: Volvo 850
 
Mais il y a aussi le prix citron ! Un jury de journalistes indépendants réuni par Michel Tona vient de l'attribuer à la... Volvo 343/345, sorte de R14 batavo-suédoise - elle est née chez Daf - affublée de peu toniques moteurs Renault...

La suite sur :
site E T A I







Et le spectacle continue...

CHIX CHENT QUATRE

Pour nous divertir entre deux épisodes du (passionnant ?) feuilleton Joyet-Fillon, séquence souvenir !

VGE l'aura menée pied au plancher aux quatre coins de la France lors de moult meetings, et profité du confort ouaté de sa banquette en cuir. Michel Tona, président de lui-même, ne pouvait se priver d'un tel privilège. Ce sera chose faite d'ici moins d'un mois..., n'est-ce pas Seb ?

RE-Bienvenue sur le blog français consacré aux youngtimers!

L'ambition de cet espace est de présenter un grand nombre de news au sujet des "jeunes anciennes", appelées dans le jargon de l'automobile de collection les "youngtimers". Agées de 10 à 25 ans, ces voitures ont rythmé l'enfance et l'adolescence de tous les passionnées d'automobile. Aujourd'hui, nous travaillons et pouvons enfin nous les payer (enfin, pas toutes...!).

THE BRABUS STORY dans EVO

Fils de concessionnaire Mercedes au milieu de la RFA, Boddo Buschmann quitte à 20 ans les bancs de la fac d'éco où il s'ennuie ferme. Il tente quelques conversions de Classe E et S à la fin des années 70, "dans le dos" de son père, à coups de quelques bidouilles (jantes, élargisseurs, peinture, ressorts, etc.) ... Et ça marche ! En 1977 est créée BRABUS, acronyme dont les trois premières lettres reprennent celles du nom de son premier associé, étudiant lui aussi, un certain BRAckmann, "BUS" suivant la même logique pour Bodo BUSchmann, alias "Mister Tuning" Outre-Rhin. En presque quatre décennies, l'affaire est devenue le plus gros tuner indépendant au monde. Respect !

La suite dans le magazine EVO de Nombre 2014, actuellement en kiosque.

lien: site EVO (speedfans)